(Sous couvert de développement de l’Afrique et de libération de la femme africaine).
Méditons ceci : « La démographie sert de baromètre à la nation. Quand la fécondité diminue, on craint le déclin, voire la disparition… » Extrait du livre La Démographie de Hervé Le Bras, Directeur d’Etudes à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales de France et directeur de recherche à l’Institut national français d’études démographiques.
**************Visionner la vidéo se trouvant à l’adresse du lien suivant******************* :
https://drive.google.com/file/d/0By57AjWMSMs_TXlmMHdJRFJZV0U/view?usp=sharing
Ci dessous, la transcription qui a été faite de cette vidéo. l'objectif de cette transcription est de permettre une meilleure compréhension et une plus grande possibilité d’interprétation de ce qui est dit dans cette vidéo.
Premier Intervenant :
« Question : Quel est pour vous l’enjeu essentiel des questions de population en Afrique ?
Réponse de l’intervenant : deux choses sont importantes. 1- Il faut Avoir un horizon de l’enjeu : il faut positionner l’enjeu découlant de la surpopulation africaine à une date relativement rapprochée. 2- Il faut Avoir des certitudes : la notion de transition démographique est en questionnement. Il s’agit de savoir si la transition démographique va se développer en Afrique et donc limiter l’explosion démographique africaine ou bien est ce que l’inertie démographique actuelle va continuer et amener une explosion démographique encore plus grande ? »
Interprétation : De cette intervention, nous comprenons que l’enjeu de la surpopulation africaine, le moment, où cette population va atteindre un niveau qui pour l’Europe serait critique, ne doit pas être reporter à bien plus tard. Le monsieur pense qu’il leur faut l’envisager dans moins d’un quart de siècle car les futurologues se trompent et que des variations importantes peuvent se produire sans qu’il n’ait pu les prévoir et les maîtriser. Par conséquence, il faut agir à la hauteur des enjeux. La question de l’évolution de la population africaine ou la surpopulation africaine doit être envisagée de façon exponentielle et non plus linéaire. L’enjeu est que les populations noires africaines peuvent atteindre un niveau qui pourrait fragiliser la suprématie blanche en submergeant par son nombre élevé les populations blanches européennes.
On peut comprendre que le sens réel de la transition démographique (terme que nos intellectuels africains perroquets répétiteurs, friands de terme nouveau, répètent à l’envi) est de limiter l’évolution de la population africaine. C’est –à-dire que les politiques de planning familial, les césariennes, les campagnes d’espacement de naissance, les produits stérilisants dans les plastiques, les fertilisants, les produits alimentaires (glutamates monosodiques dans les aromes, etc) vont permettre d’enrayer l’évolution désastreuse (au sens des intérêts occidentaux ) de la population africaine. La situation qui résulterait de l’utilisation de ces différents moyens de dépopulation, c’est elle qui est appelée la transition démographique.
L’inertie démographique, quant à elle, serait la poursuite de l’évolution de la démographie africaine sans entrave extérieure. C’est –à-dire que les choses se poursuivraient normalement et que les populations africaines se multiplieront de façon naturelle, au gré de leur envie et de leur prospérité, amplifiant allégrement ce qu’ils considère comme un mal : la surpopulation. C’est cela leur plus grande peur.
Deuxième intervenant :
« Question : Vous avez évoqué la question de la démographie africaine et vous l’avez comparé au problème démographique asiatique. Quelles sont les différences entre ces deux continents ?
Réponse de l’intervenant : l’Asie a intégré depuis 3000 ou 4000ans sa démographie et a développé des systèmes politiques et économiques qui tiennent comptes de ces réalités. Tandis que l’Afrique est traumatisée parce qu’elle est passée en l’espace d’un siècle d’un monde de basse pression démographique à un monde de surpression démographique. Donc sans le recul millénaire qu’a eu l’Asie.
Ce traumatisme explique en partie les problèmes que nous avons aujourd’hui. Car en plus de poser des problèmes économiques, des problèmes environnementaux et autres, cette surpopulation africaine pose des problèmes philosophiques et culturels. »
Interprétation : L’intervenant omet de dire que le traumatisme démographique africain a été provoqué par 400 ans d’esclavage, 100 ans de colonisation et 50 ans de recolonisations. Ces Crimes ont décimé la population africaine comme jamais aucune autre population sur le dos de la terre.
L’intervenant nous informe que l’Afrique pose des problèmes économiques. Il faut se demander à qui ? Car c’est grâce à la main d’œuvre gratuite africaine que l’empire colonial français voire les empires coloniaux européens, ont constitués ce qui est aujourd’hui leur richesse. Si on enlève les trésors coloniaux, il ne reste rien à la France. Par ailleurs, des pays comme la France vive actuellement de l’exploitation économique de pays africains à travers la domination et l’occupation militaire, un mécanisme monétaire d’origine Nazie (le Franc CFA), un monopole économique violant la souveraineté des pays africains en les spoliant de leurs ressources. Actuellement, la France est un problème politique et économique pour l’Afrique. Alors quelle arrogance !
Quels sont les problèmes philosophiques que la surpopulation africaine pourrait poser ? ???? C’est du raciste à l’état pur. Il serait inacceptable que les populations noires puissent avoir une position de puissance, de pouvoir, de prospérité. Toutes les théories racistes des auteurs dits du siècle des lumières seraient ainsi fausses. Ceci n’est pas acceptable pour l’africaniste Monsieur Bernard Lugan.
Les problèmes culturels, nous les comprenons aisément. Compte tenu du fait que la terre sera peuplé d’un plus grand nombre de noir qui ne seront pas nécessairement occidentalisés culturellement parlant, la suprématie culturelle caucasienne ne pourrait pas vivre au delà des quelques centaines de millions de caucasiens. Elle tendrait à disparaître, à perdre influence et à ne vivre qu’au travers de cette population déclinante démographiquement parlant. En effet, avec le mariage homosexuel et les autres pratiques contre nature, les caucasiens ne vivraient pas plus d’une cinquantaine au maximum.
Troisième Intervenant :
Question : Vous avez évoqué l’initiative Borloo et Schneider électrique, en quoi ces initiatives privées sont elles profitables à l’Afrique ?
Réponse de L’intervenant : Dans la mesure où les fonds qui seront distribués, seront contrôlés non pas seulement au niveau des gouvernants mais à tous les niveaux administratifs jusqu’à l’école qui est entrain de se construire ou à l’hôpital qui est entrain de s’améliorer. Ce sont des initiatives qu’il faut saluer parce qu’elles vont chercher les fonds pour les distribuer. Seulement si ces fonds ne sont pas contrôlés, comme ce qui est fait depuis 60 ans, le résultat sera le même.
Question : Et en quoi, ce sera mieux contrôlés avec les initiatives privées par rapport aux organisations internationales ?
Réponse de l’intervenant : les entreprises privées sont plus consciencieuses que les entreprises administratives fonctionnaires. Les milliers de fonctionnaires qui se vautrent dans les bureaux de l’ONU à Washington seront plus efficaces, s’ils étaient affectés sur le terrain au niveau des récipiendaires de l’argent. Les entreprises privées sont plus impliquées. Parce que les organisations internationales et organismes officiels qui recueillent de l’argent par don, par distribution des Etats, vivent presque grâce aux impôts des Etats. Alors que L’entreprise privée doit, elle, se battre et elle vivra de l’exécution et la réalisation, de ce qu’elle aura fait sur le terrain.
Interprétation : Cet intervenant nous informe sur le vrai rôle dédié à l’initiative Borloo et celle de Schneider électrique. Nous nous souvenons qu’à coup de buzz médiatique, nous avons été bombardés par cette nouvelle. Un Politicien freluquet Jean Louis Borloo a pris la décision d’électrifier l’Afrique. L’Afrique est le terrain de jeux des occidentaux. N’importe qui, n’importe quand peut décider n’importe quoi pour l’Afrique. Bref !
Ces deux initiatives ont pour rôle l’extermination pure et simple des populations africaines. Ils ont l’espoir qu’elles feront bien le travail compte tenu de leur nature, de leur existence qui est lié à leur efficacité economique. Atteindre l’objectif d’éradiquer la surpopulation africaine. Concrètement tuer suffisamment d’africains en Afrique pour que la population soit à un niveau maitrisable.
Cela est donc le rôle premier de l’ONU et de ses démembrements. L’intervenant fustige leur inefficacité de n’avoir pas pu tuer suffisamment d’africains. Et que ça fait 60 ans que cette mission leur a été assignée. Que jusqu’à présent, les organisations internationales sont inefficaces à l’éradication de la surpopulation malgré les moyens qui leur sont donnés par les Etats pour ce faire. Que les entreprises privées compte tenu de leur peu de scrupules et de leur quête de profit sont plus efficaces dans l’exécution de la mission qui est la leur et des moyens qui leur sont donnés.
Cet intervenant nous informe aussi qu’il existe au niveau local des récipiendaires de l’argent pour mettre en pratiques les programmes qui auront pour but d’éradiquer la surpopulation de l’Afrique. Qui sont ces locaux ? Les gouvernants et les structures privées qui se sont apparemment montrés plus efficaces.
Quatrième Intervenant
« Question : Un aspect sanitaire de la question africaine, est ce que vous pouvez nous résumer votre propos ?
Réponse de l’intervenant : je suis intervenue sur tous les scandales liés aux maladies et épidémies qui font beaucoup parlées d’elle en Afrique. J’ai découvert de la corruption, de l’incompétence, de la gabegie dans tous ce qui tourne autour de maladies qui font de millions de mort. Mais dont tout l’argent est utilisé par les grandes organisations qui vivent de dons, qui en ont fait leur business en organisant des séminaires, des colloques, en ayant des bureaux et des employés mais dont l’efficacité est quasi nulle. La seule efficacité pour lutter contre ces maladies en Afrique vient des fonds privés comme la fondation de Bill Gates. Toutes ces organisations type pnud, Unicef ne sont pas efficaces. Elles se greffent sur les succès des entreprises privées qui sont les seules à poser des actions réelles. »
Interprétation : L’hypocrisie occidentale en action. Voilà quelqu’un qui est dans un colloque qui fait de l’évolution de la population africaine un problème vital majeur pour l’Europe et qui a quand même le courage de déplorer que des millions d’africains meurent de maladie et d’épidémie. Cet intervenant nous confirme qu’effectivement, la fondation de bill Gates fait de la dépopulation. Mais qu’elle n’est pas la seule. Et qu’elle est efficace dans cela. Parce que nous parlons bien de Surpopulation, Donc, pour être efficaces, il s’agit bien d’extermination de population africaine.
Les structures publiques ont une efficacité quasi nulle. Mais pas totalement nulle. C'est-à-dire qu’elles arrivent quand même à exterminer quelques populations. Mais dans une ampleur vraiment non significative en comparaison aux objectifs de dépopulation fixés.
Cinquième intervenant
« Question : Vous êtes l’organisateur de cette rencontre. Quelle est la raison de l’organisation d’un tel colloque ?
Réponse de l’intervenant : Je suis gravement préoccupé par l’explosion démographique africaine. Les courants migratoires d’africains vont tuer la civilisation européenne. 2% à 3 % de noirs en Europe ça va mais 30% c’est la mort.
Le danger est là. Il ne s’agit pas d’un problème qui va surgir dans 3000ans. Le problème est imminent. C’est dans 3 à 4 décennies. Donc il faut réagir maintenant. Il ne s’agit pas de larguer une bombe atomique en Afrique.
Ce que je propose c’est un plan Marshall massif pour le développement de l’Afrique avec contrôle et conditionnalité comme le fait le Fonds Monétaire International actuellement.
Et aussi un programme massif visant la libération de la femme africaine. La condition féminine en Afrique est abominable. Hors, c’est la femme africaine qui détient la clé de l’avenir de l’Afrique.
Question : Est-ce que ce n’est pas donné une solution occidentale à un problème africain et justement tomber dans les mêmes erreurs de la colonisation ?
Réponse de l’intervenant : Vous avez raison. C’est une réponse occidentale parce qu’il ya pas d’autre. C’est un problème africain parce que ce n’est pas le notre. Nous, c’est l’inverse, nos femmes ne font pas suffisamment d’enfants et nous leur reprochons avec force. Donc par conséquence, puisque les africains n’ont pas été capable d’inventer la réponse eux-mêmes, il faut bien que quelqu’un le fasse, et c’est nous. »
Interprétation : Larguer des bombes atomiques en Afrique est un fantasme Euro centrique qui est partagé par énormément de raciste anti noir qui ne supportent pas l’idée de se faire submerger par les populations noires d’Afrique. C’est la deuxième fois qu’un européen tient se genre de propos. En effet, nous nous souvenons que Jean marie Le Pen, l’ancien Président du Front National français qui jubilait qu’il ne sera pas nécessaire de larguer une bombe atomique en Afrique. Car Monsieur Ebola fera le travail. C’était un peu avant que ne se déclare l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’ouest.
Le racisme de cet intervenant est Latent. La haine anti noir froide et patente. Ils ne pourront pas accepter plus de 3% de populations noires en Europe. Ceci explique clairement la facilité avec laquelle l’assassinant de population noires par les polices européennes est pratiqué (plus de 1000 noires ont été abattus en 2015). Pas un seul policier n’a été enfermé pour cela.
L’hypocrisie occidentale est sans fond. Infinie. Illimitée comme l’univers. Mais la naïveté africaine qui boit ce genre de discours avec appétit est encore plus profonde et plus vaste que l’univers. En effet, comment quelqu’un qui estime qu’il faut que des populations africaines disparaissent pour qu’il se sente en paix et en sécurité peut se préoccuper du développement de pays africains ? Malheureusement, des africains qui se pensent instruits croient, venant de ces gens, en un plan Marshall massif pour l’Afrique. Après 600 ans d’exploitation, voila que subitement une conscience et un sens moral inspirent aux esclavagistes de développer l’Afrique.
Un développement conditionné avec le contrôle. Comme ce que le FMI fait. Ceci nous éclaire sur le rôle réel des structures financières internationales en Afrique. Avis aux africains qui jurent encore par ces institutions.
Cet intervenant a dit quand mêmes deux vérités : 1- la femme africaine détient la clé de l’avenir de l’Afrique. 2-les femmes occidentales sont incapables de maternité. Et les occidentaux leur en veulent beaucoup pour ça.
Mais chasse la nature, la nature démoniaque revient au galop. L’intervenant propose un programme massif pour libérer la femme africaine. La condition de la femme africaine est abominable. Il faut la libérer. De sa maternité. Hors, nous sommes dans un colloque sur la nécessité de dépopulation des africains. Comment quelqu’un qui projette de tuer des gens pour se sentir en sécurité peut se préoccuper de la liberté d’une femme noire ? Il n’y a que les traitres et traitresses noirs qui puissent croire ces absurdités. Les négresses et négres de service, Les noirs dehors, blanc dedans, les bounty pour le croire..
Voilà le pot de rose. L’escroquerie. Le Plan.
Si nos intellectuels perroquets répétiteurs et nos femmes intellectuelles l’ignoraient, désormais, ils devraient être considérer comme des complices de l’extermination des populations africaines.
Pas besoin de plus d’interprétation. Ce que cet intervenant dit est simple : Comme les africains avec leurs femmes qui font beaucoup d’enfant sont incapables de se tuer pour arrêter de nous faire peur, de menacer notre position et notre situation de suprématie par leur nombre grandissant. Alors que nos femmes, elles, ne peuvent pas faire beaucoup d’enfant. Nous décidons de les exterminer. Parce qu’il faut bien que quelqu’un le fasse pour nous. Et ce quelqu’un, c’est nous-mêmes. Nous sommes les maitres du monde. Les africains sont notre bétail qu’on peut abattre à volonté.
Le racisme, dans ces propos, est hors d’entendement… Ceci n’est pas moins qu’une déclaration de guerre.
Ibrahim Chaibou.